Mais le gros du jeu est lié à son game play et à l’arsenal disponible. Au niveau des armes, on fait dans le classique si ce n’est que chaque arme a à sa disposition 3 munitions différentes, chacune ayant son utilité propre. Ensuite le joueur peut également subir des modifications génétiques afin d’utiliser des plasmides, sortent de pouvoirs magiques qui complètent à merveille l’arsenal. Enfin, il peut acquérir de nombreuses compétences (toujours en modifiant ses gènes). Les fortes évolutions que peut subir le personnage ainsi que les nombreux objets à ramasser (sur les corps et dans tous les éléments du décor) ne manquent pas de rappeler Fallout 3, autre FPS+ légèrement orienté RPG. Du coup le jeu ne tarde pas à bastonner sec et à multiplier les techniques de combats. Chaque ennemi pouvant être ainsi vaincu de bien des manières : en frontal, en électrifiant l’eau dans laquelle il marche, en piratant des tourelles de sécurité, en balançant des éléments du décor… La variété des combats est vraiment inédite pour un FPS et le game play d’une fluidité exemplaire.
Dommage que la fin soit trop courte (presque bâclée) et que de jolies cinématiques ne ponctuent pas le jeu, car Bioshock était à deux doigts des plus grands. Vivement le 2.
Note : 8/10